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Alejandro Agresti est certainement un de nos realisateurs de cinema, le plus productif, mais aussi quelq'un qui pousse les limites du cinema au-delà de ses frontières. Que pour ces intentions, il a conquit mon coeur, et avec son cinema mon amour. Si vous ne le connaissiez pas, renseignez-vous, moi je vais le faire de mon côté, et à plus tard. Ici.
Je cite
"El amor es una mujer gorda. (1988, blanco y negro, 82 min.)
Intérpretes: Elio Marchi, Sergio Poves Campos y Carlos Roffé.
Sinopsis: En el amor es una mujer gorda, Alejandro Agresti, retrata la desesperación de la generación de jóvenes que sobrevivió a la sangrienta dictadura militar que dominó la Argentina entre 1976 y 1983. A través de la historia de un periodista que, dolido porque su novia lo ha abandonado, se deja caer en desgracia y marcha hacia la locura, Agresti pinta con resentimiento y desencanto una Buenos Aires vacía de ideales que presiente la llegada del neoliberalismo de fin de siglo."
Alors dans cette état d'esprit je me suis trouvé ce matin face à libération et à un commentaire très juste des compatriotes à Marseille, disponible si vous avez une compte yahoo pour l'instant (ouvrez votre session et puis copier/coller le lien ci-joint)
http://fr.groups.yahoo.com/group/tanguero/message/1435