Valentin Alsina Tango Trip

samedi, juin 11, 2005

in memoriam

Ahora es una estrella de callejon donde el viento trenza el responso malandra de su propia soledad: sordera del filo de la esquina que no le quiso escuchar. Es el bache. El lamento de la cuerda herida de esa guitarra que no consiguio pulsar nunca. Es el vacio que se hace de su nombre que parte -hacia donde?- y nos deja.


Comme ça Julian Centeya (dans un quotidien de 1947) nous annonce la mort de Celedonio Flores et la semaine dernière un homme du tango à Paris est parti.
Quand un homme part comme ça, la douleur et l'absence restent chez les gens qui l'ont aimé, et finalement seulement resteront les traces, les oeuvres qu'il aurait pu construire.
L'homme n'est rien à part ses actes et ses oeuvres.
Et moi, je lève un verre pour lui, David Liebart, et pour ceux qui l'ont aimé.


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