En dépit de théories du professeur Lidenbrock, un feu violent couvait dans les entrailles du sphéreoïde ; son action se faisait sentir jusqu'aux derniéres couches de l'écorce terrestre ; les plantes, privées des bienfaisants effluves du soleil, ne donnaient ni fleurs ni parfums, mais leurs racines puisaient une vie forte dans les terrains brûlants des premiers jours.
Jules Verne, Voyage au centre de la Terre/Milonga Florida, 23 Janvier 2005/Photos Séve