Valentin Alsina Tango Trip
lundi, décembre 13, 2004
El amor es una mujer gorda
Alejandro Agresti est certainement un de nos realisateurs de cinema, le plus productif, mais aussi quelq'un qui pousse les limites du cinema au-delà de ses frontières. Que pour ces intentions, il a conquit mon coeur, et avec son cinema mon amour. Si vous ne le connaissiez pas, renseignez-vous, moi je vais le faire de mon côté, et à plus tard. Ici.
Je cite
"El amor es una mujer gorda. (1988, blanco y negro, 82 min.)
Intérpretes: Elio Marchi, Sergio Poves Campos y Carlos Roffé.
Sinopsis: En el amor es una mujer gorda, Alejandro Agresti, retrata la desesperación de la generación de jóvenes que sobrevivió a la sangrienta dictadura militar que dominó la Argentina entre 1976 y 1983. A través de la historia de un periodista que, dolido porque su novia lo ha abandonado, se deja caer en desgracia y marcha hacia la locura, Agresti pinta con resentimiento y desencanto una Buenos Aires vacía de ideales que presiente la llegada del neoliberalismo de fin de siglo."
Alors dans cette état d'esprit je me suis trouvé ce matin face à libération et à un commentaire très juste des compatriotes à Marseille, disponible si vous avez une compte yahoo pour l'instant (ouvrez votre session et puis copier/coller le lien ci-joint)
http://fr.groups.yahoo.com/group/tanguero/message/1435
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