Valentin Alsina Tango Trip
jeudi, décembre 30, 2004
lundi, décembre 27, 2004
Buenas noches buen provecho...
Plusiers fois (pour ne pas dire des centaines) on m'a demandé si j'avais vu tel ou untel film sur le tango, ou je ne sais pas quoi. Ma reponse plus ou moins respectuose selon l'heure oscille. Oscille toujours.
Mais aujourd'hui ce ma reponse définitive:
Allez voir Leonardo Favio
jeudi, décembre 23, 2004
quinze metres sur le niveau de Jack
Autrefois un ami, éloignés par la distance inexorable de l'atlantique, qui quand même nous permet de présenter les photos de la Milonga Florida du 12 décembre 2004.
Textes et commentaires arriveront...
Textes et commentaires arriveront...
samedi, décembre 18, 2004
Sueños, 1979
THE WOLF THAT LIVES IN LINDSEY
words and music by Joni Mitchell
Of the darkness in men's minds
What can you say
That wasn't marked by history
Or the T.V. news today
He gets away with murder
The blizzards come and go
The stab and glare and buckshot
Of the heavy heavy snow
It comes and goes
It comes and goes
His grandpa loved an empire
His sister loved a thief
And lindsey loved the ways of darkness
Beyond belief
Girls in chilly blouses
The blizzards come and go
The stab and glare and buckshot
Of the heavy heavy snow
It comes and goesIt comes and goes
The cops don't seem to care
For derelicts or ladies of the night
They're weeds for yanking out of sight
If you're smart or rich or lucky
Maybe you'll beat the laws of man
But the inner laws of spirit
And the outer laws of nature
No man can
No--no man can
There lives a wolf in Lindsey
That raids and runsThrough the hills of Hollywood
And the downtown slumsHe gets away with murder
The blizzards come and go
The stab and glare and buckshot
Of the heavy heavy snow
It comes and goes
It comes and goes
J'ai découvert ce disque et Joni au même temps, l'emission s'appelé historock toutes les soirs dans la vieille radio municipal de BA. Je n'ai pas pu dormir, et la cassette ou je l'avais enregistré marche encore.
webafile/puentealsina/5450754
Et vous allez comprendre.
mardi, décembre 14, 2004
And I'll still be on me feet
Cadeau spontané, pour l’anniversaire de Manfred, qui d’ailleurs porte le même prénom que mon grand-père, pour ma mère qui me voit par Internet (samedi derniér elle fêtait son anniversaire) et pour ceux qui ne connaissent pas Joni Mitchell.
Mingus via webafile à partir de demain.
Mingus via webafile à partir de demain.
lundi, décembre 13, 2004
El amor es una mujer gorda
Alejandro Agresti est certainement un de nos realisateurs de cinema, le plus productif, mais aussi quelq'un qui pousse les limites du cinema au-delà de ses frontières. Que pour ces intentions, il a conquit mon coeur, et avec son cinema mon amour. Si vous ne le connaissiez pas, renseignez-vous, moi je vais le faire de mon côté, et à plus tard. Ici.
Je cite
"El amor es una mujer gorda. (1988, blanco y negro, 82 min.)
Intérpretes: Elio Marchi, Sergio Poves Campos y Carlos Roffé.
Sinopsis: En el amor es una mujer gorda, Alejandro Agresti, retrata la desesperación de la generación de jóvenes que sobrevivió a la sangrienta dictadura militar que dominó la Argentina entre 1976 y 1983. A través de la historia de un periodista que, dolido porque su novia lo ha abandonado, se deja caer en desgracia y marcha hacia la locura, Agresti pinta con resentimiento y desencanto una Buenos Aires vacía de ideales que presiente la llegada del neoliberalismo de fin de siglo."
Alors dans cette état d'esprit je me suis trouvé ce matin face à libération et à un commentaire très juste des compatriotes à Marseille, disponible si vous avez une compte yahoo pour l'instant (ouvrez votre session et puis copier/coller le lien ci-joint)
http://fr.groups.yahoo.com/group/tanguero/message/1435
vendredi, décembre 10, 2004
jeudi, décembre 09, 2004
Blog de milonga
Murió Pepe Libertella, pobre chabón, que en paz descanse. Independientemente de esto y de que el sábado es el dia del TANGO, no quedan muchos acontecimientos tangueros como para derrochar tinta. El pedazo de maceta, con tierra y planta, no es localizable en Paris. Premio para el que mande una foto de pedazo de maceta con planta en Paris, hasta Francia les dejo.
Hay cosas que hacen un tango y otras cosas que no. El cumple del zorzal y de Julio de Caro hacen el día del tango. Para mi, sobre todo, es el dia del cumple de mi vieja a quien ni un pedazo de maceta con planta le voy a poder hacer llegar, pero si unos vinos regrossos (sera el intercambio cultural?)
Las baldosas flojas tambien hacen la puteada tanguera, sospecho que el hombre de Buenos Aires se vuelve atento al caminar (cuando va para la milonga) evitando esas baldosas traicioneras que te van a lanzar el escupitajo horrible. Yo, debo confesarlo me he preocupado por encontrar estas baldosas en Paris. Sin ir mas lejos la avenida Secretan antes de Jaurès nos ofrece algunas de la mano derecha, cerca del monoprix.
Todas estas cosas, mas el frío, me ponen nostálgico de Buenos Aires. Ahora que no tenemos mas el chantier, solo nos queda Florida para explayarnos. Alla nos veremos.
dimanche, décembre 05, 2004
mercredi, décembre 01, 2004
we are these funky people
A pedido del publico y a mucha honra, un par de cortinas que marcaron varias noches en le Chantier.
https://www.web-a-file.com/
puentealsina
5450754 tarde charly! pero siempre vas a poder ligar algo...
https://www.web-a-file.com/
puentealsina
5450754 tarde charly! pero siempre vas a poder ligar algo...
lundi, novembre 29, 2004
Pan y Trabajo
Dj MdVA cherche Milonga serieuse pour se produire,
conditions à discuter au 0630790703.
Merci.
vendredi, novembre 26, 2004
Nada
He llegado hasta tu casa...
¡Yo no sé cómo he podido!
Si me han dicho que no estás,
que ya nunca volverás...
Nada
De chiquilín te miraba de afuera
como a esas cosas que nunca se alcanzan...
La ñata contra el vidrio,
en un azul de frío,
que sólo fue después viviendo
igual al mío...
Cafetin de Buenos Aires ici
Pero se me ocurrio un chiste buenisimo,
- hola que haces, comiste zapato hoy?
- zapato? pero que decis?
- si, un zapato, asi cuando te vayas a cagar me ahorras que te pegue una patada en el culo...
mortal.
Y si esta semana viene too much. No da postear cosas filosoficas...
¡Yo no sé cómo he podido!
Si me han dicho que no estás,
que ya nunca volverás...
Nada
De chiquilín te miraba de afuera
como a esas cosas que nunca se alcanzan...
La ñata contra el vidrio,
en un azul de frío,
que sólo fue después viviendo
igual al mío...
Cafetin de Buenos Aires ici
Pero se me ocurrio un chiste buenisimo,
- hola que haces, comiste zapato hoy?
- zapato? pero que decis?
- si, un zapato, asi cuando te vayas a cagar me ahorras que te pegue una patada en el culo...
mortal.
Y si esta semana viene too much. No da postear cosas filosoficas...
mardi, novembre 23, 2004
just a gig
- Gig, it was a gig.
- What?
- You know, like Joy Division in Preston '79
Con ese disco aprendi gig, un poco de historia premonitoria de un new order, y de unas vias por las que circularia mi tren.
2004.11.20
- Oui?
- C'est comme si Pink Floyd te dissait; ey mec, want to play with my equipment after we made our concert?
- Oui?
- It's up to you, equipment is there.
- ahh, ok.
Et alors on ne savait pas, ça caillait grave. J'ai apris un nouveau mot : GIVRE. On fait le reglage, son, lumière ok, plug off. Et les gens qui se mettent à hurler.
Première crainte d'un Dj.
Ils n'avaient pas compris que c'était un essai. Je regarde l'heure : c'était l'heure.
OK.
Nombre de gens du tango : quelques uns, état du sol : patinoire publique : vouloir danser.
San Telmo Lounge. En n'étant pas possible de danser sans patiner, on patine. Monserrat de Bajofondo, et voilà c'est parti.
Une première partie très club (Madamme Armisén devrait aimer) Ultratango, Tango Fusion Club, Alex kid. Puis on a joué avec les nuances du tango, Julian Centeya pour permettre à "el cuarteador" de faire son entrée magistrale. Finalement on a fait un concert TANGO. Et les gens ont dansé, public tango du tango, public normal, normal.
On n'a pas enregistré le concert (misunderstanding technique), pas de photos (état clandestin de la manifestation) ni presse papiers, ni rien. Un tas de gens qui dansaient et un bout de mémoire ephémère de froid, en tout cas chez ceux qui n'ont pas voulu danser.
On a profité de la percu bien mixé par G-o-t-a-n-D-j- pour se lancer dans la deuxième heure qui a été plus éclectique avec l'intervention tribal de Fernando Samalea et du sampling audacieux du tango (Gardel a tremblé, j'en suis sur)
Des beats monté sur Tanghetto et Ultratango, pour tomber encore dans le tango sous la forme de milonga. La ville était en fête, nous étions en fête, et on a dû finir vers une heure treinte, dans la douceur de Narcotango.
Narcotissés par une ville qui avait dansé sous le rythme du tango électro entièrement pour la première fois.
Et je suis heureux sous les marroniers.
Gracias.
Upgraded !!!!
trois morceau au plat
https://www.web-a-file.com/
puentealsina
5450754
- What?
- You know, like Joy Division in Preston '79
Con ese disco aprendi gig, un poco de historia premonitoria de un new order, y de unas vias por las que circularia mi tren.
2004.11.20
- Oui?
- C'est comme si Pink Floyd te dissait; ey mec, want to play with my equipment after we made our concert?
- Oui?
- It's up to you, equipment is there.
- ahh, ok.
Et alors on ne savait pas, ça caillait grave. J'ai apris un nouveau mot : GIVRE. On fait le reglage, son, lumière ok, plug off. Et les gens qui se mettent à hurler.
Première crainte d'un Dj.
Ils n'avaient pas compris que c'était un essai. Je regarde l'heure : c'était l'heure.
OK.
Nombre de gens du tango : quelques uns, état du sol : patinoire publique : vouloir danser.
San Telmo Lounge. En n'étant pas possible de danser sans patiner, on patine. Monserrat de Bajofondo, et voilà c'est parti.
Une première partie très club (Madamme Armisén devrait aimer) Ultratango, Tango Fusion Club, Alex kid. Puis on a joué avec les nuances du tango, Julian Centeya pour permettre à "el cuarteador" de faire son entrée magistrale. Finalement on a fait un concert TANGO. Et les gens ont dansé, public tango du tango, public normal, normal.
On n'a pas enregistré le concert (misunderstanding technique), pas de photos (état clandestin de la manifestation) ni presse papiers, ni rien. Un tas de gens qui dansaient et un bout de mémoire ephémère de froid, en tout cas chez ceux qui n'ont pas voulu danser.
On a profité de la percu bien mixé par G-o-t-a-n-D-j- pour se lancer dans la deuxième heure qui a été plus éclectique avec l'intervention tribal de Fernando Samalea et du sampling audacieux du tango (Gardel a tremblé, j'en suis sur)
Des beats monté sur Tanghetto et Ultratango, pour tomber encore dans le tango sous la forme de milonga. La ville était en fête, nous étions en fête, et on a dû finir vers une heure treinte, dans la douceur de Narcotango.
Narcotissés par une ville qui avait dansé sous le rythme du tango électro entièrement pour la première fois.
Et je suis heureux sous les marroniers.
Gracias.
Upgraded !!!!
trois morceau au plat
https://www.web-a-file.com/
puentealsina
5450754
vendredi, novembre 19, 2004
La ñata contra el vidrio
Stage d'initiation au tango argentin
par Maria Filali et Matias de Valentin Alsina
du Lundi 3 au Vendredi 7 Juillet
et du Lundi 17 au Vendredi 21 Juillet
infos et inscriptions au:
06 11 65 85 57
tangoparis@gmail.com
mercredi, novembre 17, 2004
dimanche, novembre 14, 2004
La espuela
Originariamente ideado para domar los animales de dificil domesticacion, como una extension de los talones del domador. Su aplicacion ha sido considerada necesaria e imparcial, no asi su uso.
Tambien es el nombre de la milonga de Juan D'arienzo (una de mis favoritas) que bailamos en la apertura del Metallos con S.V.
Si, se la pueden bajar en puentealsina via uebafai. Non, pas à moi, disez-le merci a Tinsel de la Liv la reine de la mayonnaise maison.
samedi, novembre 13, 2004
vendredi, novembre 12, 2004
Archiving, a french excersise
On a changé la façon de conserver nos archives, dès maintenant tout sera archivé par mois et dans la page principale les 20 derniers posts.
On ne fait plus les mêmes démarches pour arriver aux objets, aux choses, la mauvaise habitude du click ça ou click voilà nous a conquis , et les chemins ne sont plus si longs ni difficils pour y arriver. Des fois on pense plus que le chemin fait partie naturellement de l'objet. La distance, l'espace sont concomitantes à l'écosystème de notre objet.
Il faut se souvenir, en tout cas, il faudra que je me souviennes.
On ne fait plus les mêmes démarches pour arriver aux objets, aux choses, la mauvaise habitude du click ça ou click voilà nous a conquis , et les chemins ne sont plus si longs ni difficils pour y arriver. Des fois on pense plus que le chemin fait partie naturellement de l'objet. La distance, l'espace sont concomitantes à l'écosystème de notre objet.
Il faut se souvenir, en tout cas, il faudra que je me souviennes.
jeudi, novembre 11, 2004
Para que sirve un blog
Dialogue:
- Les gens me demandent à quoi sert un blog.
- Oui, c'est tout à fait cartésien, mais je peut le comprendre.
- Mais, un blog sert à rien!
- Non, il sert à écrire, à commenter, à participer, à changer des opinions, à partager...
- Vous êtes convaincu de ce que vous dit madame Ache?
- Oui.
- Je peut le publier?
Fait.
- Les gens me demandent à quoi sert un blog.
- Oui, c'est tout à fait cartésien, mais je peut le comprendre.
- Mais, un blog sert à rien!
- Non, il sert à écrire, à commenter, à participer, à changer des opinions, à partager...
- Vous êtes convaincu de ce que vous dit madame Ache?
- Oui.
- Je peut le publier?
Fait.
mercredi, novembre 10, 2004
I'm waiting for a man
As usual we have our own timing, trying to finish for today "the vu refutation" I find out something, but no French translation this time:
Lou Reed blog's allez y!
Eminem's last video before the elections...
Upgrade: www.archive.org une bibliothèque virtuelle, pour ceux qui vont connaître Calexico il y a un concert formidable dedans.
De rien.
Lou Reed blog's allez y!
Eminem's last video before the elections...
Upgrade: www.archive.org une bibliothèque virtuelle, pour ceux qui vont connaître Calexico il y a un concert formidable dedans.
De rien.
Les oreilles
Derniers jours de l'automne, on a entendu dire:
"il faut pas être Tolstoi pour écrire" et oui, il faut se permettre de ne pas devoir l'être.
"il faut pas être Tolstoi pour écrire" et oui, il faut se permettre de ne pas devoir l'être.
Refutación y leyenda de la VU
Nota aclaratoria esto comenzo en Stereoblog en algun lugar que ya no me acuerdo, pero en todo caso la verdà de la milanesa esta aca, y I am sorry no french translation.
documentos: en web-a-file
loureed
0780139
loaded (2 al 9)
puentealsina (fue Charly, igual siempre se puede ligar algo ahi)
5450754
vu (1 al 8)
farfolocos
9016919
lou reed & john cale "songs for drella" part I
Ya hablamos de las cirscunstancias que envuelven las primeras audiciones musicales, esas emociones quedan casi pegadas a estas musicas y casi forman parte de ellas, por eso cuando uno discute de musica, no puede dejar de lado todas estas emociones. De todos modos yo pienso que valen y que deben ser defendidas. Porque un hombre se constituye a traves de sus emociones y de sus vivencias, luego sus huellas tendran el color de su arte y bueno todo el tralalà...
Curioso por descubrir las musicas de otras épocas que no me tocaron vivir, y àvido de saberes, siempre pase mucho tiempo en las bateas de todas las disquerias, de todos los barrios y ciudades que visitaba (muchas veces sin un mango) pero aprendia y ademas me leia todo, en una de esas excursiones encontre el disco de la banana, que vaya a saber porque catzo no tenia nada escrito.
Un par de años despues una minita pone un caset de la VU y flashee con ese rock'n'roll, con las letras de un tipo agujereado por sus excesos y por lo bueno que estaba verla a esta mina. Mucho tiempo despues, consigo dos discos (loaded y VU) que son los unicos que tengo aca conmigo en Paris (fetichista yo tambien, me gustan los objetos y me gusta guardarlos)
De todos modos yo tambien se que The Velvet Underground and Nico no es otra cosa que un engendro de un pibito que hacia marketing de todo y que conocemos como Andy Warhol. Lou Reed (la alma mater de todo esto) un poco excitado con la idea de garantizarse droga por un par de años mas, agarra viaje (total eran un par de amigos de antes y Cale que estaba rechapa con la musica contemporanea)y le dan al primer bananon, que exceptuando por los temas que ya estaban hechos de antes (heroine, i'm waiting for the man, venus in furs) el disco no da, va le daban a Nico todos, y parece que de ahi vino el bardo entre J.C. ; L.R. y este Uarjol (no compartiras tu guitarra, tu bajo, tu dinero, ni la minita del popart)
Partida la teutónica y el poprince, literalmente, sacan "White Light White Heat" que tambien es medio de terror excepto por "Sister Ray" (este debe ser el tema que te aburrio o "the gift" no se...) Sin embargo este album mejor dejarlo como un antepasado de las cosas que sucederan despues en la discografia de cada uno de ellos (Cale y Reed, por eso "songs for drella")
Despues vienen unas cosas medio flojas, el tercer disco 'the velvet underground' mejor ni mirarlo, me imagino un Lou Reed sin su medio monstruo, medio tirado y con pocas ganas de hacer algo nuevo sin tener con quien pelearse, sino despues cuando se volvieron a juntar no lo hubiesen hecho solos.
De todos modos la posta esta justamente en "Loaded" y "VU" por eso subi esos discos. Y justamente ahi esta el Lou Reed que se va a despertar despues, de la mano de Bowie en transformer y que sacara todos esos discos que tanto nos gustaron (?) despues.
Mas y mejores sitios y cosas sobre la velvet aqui.
documentos: en web-a-file
loureed
0780139
loaded (2 al 9)
puentealsina (fue Charly, igual siempre se puede ligar algo ahi)
5450754
vu (1 al 8)
farfolocos
9016919
lou reed & john cale "songs for drella" part I
Ya hablamos de las cirscunstancias que envuelven las primeras audiciones musicales, esas emociones quedan casi pegadas a estas musicas y casi forman parte de ellas, por eso cuando uno discute de musica, no puede dejar de lado todas estas emociones. De todos modos yo pienso que valen y que deben ser defendidas. Porque un hombre se constituye a traves de sus emociones y de sus vivencias, luego sus huellas tendran el color de su arte y bueno todo el tralalà...
Curioso por descubrir las musicas de otras épocas que no me tocaron vivir, y àvido de saberes, siempre pase mucho tiempo en las bateas de todas las disquerias, de todos los barrios y ciudades que visitaba (muchas veces sin un mango) pero aprendia y ademas me leia todo, en una de esas excursiones encontre el disco de la banana, que vaya a saber porque catzo no tenia nada escrito.
Un par de años despues una minita pone un caset de la VU y flashee con ese rock'n'roll, con las letras de un tipo agujereado por sus excesos y por lo bueno que estaba verla a esta mina. Mucho tiempo despues, consigo dos discos (loaded y VU) que son los unicos que tengo aca conmigo en Paris (fetichista yo tambien, me gustan los objetos y me gusta guardarlos)
De todos modos yo tambien se que The Velvet Underground and Nico no es otra cosa que un engendro de un pibito que hacia marketing de todo y que conocemos como Andy Warhol. Lou Reed (la alma mater de todo esto) un poco excitado con la idea de garantizarse droga por un par de años mas, agarra viaje (total eran un par de amigos de antes y Cale que estaba rechapa con la musica contemporanea)y le dan al primer bananon, que exceptuando por los temas que ya estaban hechos de antes (heroine, i'm waiting for the man, venus in furs) el disco no da, va le daban a Nico todos, y parece que de ahi vino el bardo entre J.C. ; L.R. y este Uarjol (no compartiras tu guitarra, tu bajo, tu dinero, ni la minita del popart)
Partida la teutónica y el poprince, literalmente, sacan "White Light White Heat" que tambien es medio de terror excepto por "Sister Ray" (este debe ser el tema que te aburrio o "the gift" no se...) Sin embargo este album mejor dejarlo como un antepasado de las cosas que sucederan despues en la discografia de cada uno de ellos (Cale y Reed, por eso "songs for drella")
Despues vienen unas cosas medio flojas, el tercer disco 'the velvet underground' mejor ni mirarlo, me imagino un Lou Reed sin su medio monstruo, medio tirado y con pocas ganas de hacer algo nuevo sin tener con quien pelearse, sino despues cuando se volvieron a juntar no lo hubiesen hecho solos.
De todos modos la posta esta justamente en "Loaded" y "VU" por eso subi esos discos. Y justamente ahi esta el Lou Reed que se va a despertar despues, de la mano de Bowie en transformer y que sacara todos esos discos que tanto nos gustaron (?) despues.
Mas y mejores sitios y cosas sobre la velvet aqui.
lundi, novembre 08, 2004
Semana de la solidaridad
Tangoparis dice :
l'avant garde version Stereoblog "le dernière album de U2 qui sortira dans 3 semaines ici."
Soirée exceptionnelle « SOLISUD »
l'avant garde version Stereoblog "le dernière album de U2 qui sortira dans 3 semaines ici."
Soirée exceptionnelle « SOLISUD »
Dans le cadre de la semaine de la solidarité, Jorge Rodriguez, le Studio de l’Ermitage et « mirando al sur@regard au sud » organisent le dimanche 14 novembre 2004 à partir de 19 heures,
« La milonga SOLISUD »
L’association « mirando al sur@regard au sud » a pour but prioritaire de rassembler des fonds pour palier la faim des enfants en Argentine.
Elle subventionne des cantines et travaille en partenariat avec une autre association « Mujeres solidarias de La Matanza » siégée à Buenos Aires, qui entre autre, donne à manger à 1100 enfants quotidiennement, dans 23 cantines reparties dans tout le département de La Matanza, un des plus défavorisés de Buenos Aires.
Tous les fonds rassemblés dans cette soirée, grâce à votre présence, sera un geste de solidarité pour ces enfants.
* Entrée 5 euros
* Restauration argentine
* Artistes bénévoles (musiciens, chanteurs, danseurs …) seront au RDV.
Vous pouvez dés maintenant acheter vos entrées. Elles seront limités vu le nombre de places que nous pouvons accueillir.
Venez nombreux !
Soirée exceptionnelle :
Milonga « SOLISUD »
Studio de l’Ermitage
8, rue de l’Ermitage
75020 Paris
Renseignements : 01 39 80 15 98 – sandrarumo@free.fr
samedi, novembre 06, 2004
Sabato
"El dolor y la tristeza son infinitos, la felicidad no"
m.l.G. dixit.
"Felicidad es poder pagar sus deudas y no generarlas otra vez"
MdVA pensador contemporaneo.
ctrl + n
(nouvelle fenêtre explorer, ou bref OUVRIR UNE NOUVELLE FÊNETRE DE VOTRE NAVIGATEUR WEB)
https://www.web-a-file.com/
Username - puentealsina
Password - 5450754
=), cadeau pour le weekend, par contre il faut RIEN toucher seulement 'download' et c'est bon.
m.l.G. dixit.
"Felicidad es poder pagar sus deudas y no generarlas otra vez"
MdVA pensador contemporaneo.
ctrl + n
(nouvelle fenêtre explorer, ou bref OUVRIR UNE NOUVELLE FÊNETRE DE VOTRE NAVIGATEUR WEB)
https://www.web-a-file.com/
Username - puentealsina
Password - 5450754
=), cadeau pour le weekend, par contre il faut RIEN toucher seulement 'download' et c'est bon.
vendredi, novembre 05, 2004
Vendredi analisé, french post.
En finissant "Requiem des innocents" je eu deux propositions frauduleuses à Plein Soleil, bref on voulait me vendre la drogue (?)
Si sa m'arrive encore, avant de finir mon livre (tout à l'heure) je vais poser des questions...
Si sa m'arrive encore, avant de finir mon livre (tout à l'heure) je vais poser des questions...
Debrer qui s'était lancé trop fort sur la rampe de l'escalier
débaroula un demi-étage. Cela fit un bruit de tonnerre. Schborn, Loucheur, Lobe
et moi étions dans le sous-sol. Le bruit de la chute nous arrêta instantanément
de travailler. Loucheur avait déjà fait un pas vers la montée pour aller voir.
Lobe ne se redressa même pas. Il dit placidement :
- En voila un qui se
casse la gueule.
Ce calme frappa beaucoup Schborn qui me souffla :
- C'est un mec !
Debrer descendit dans le sous-sol avec une superbe bosse à la
tempe. Il se tenait la tête à deux mains, mais il ne pleurait pas. Il venait
chercher les statuettes. Lobe le regarda.
- C'est toi qui t'es démoli ?
- Oui, m'sieur.
- Ça t'fait mal ?
- J'ai l'habitude, m'sieur.
Alors, il y eut sur nous cette chose indescriptible et magnifique qu'était
le regard de Lobe. Il nous regarda Schborn et moi, et tous les autres qui étient
venus. Un regard étonnant, des yeux de bête douce. Il alluma une cigarette et
donna un léger coup de poing sur la tête de Debrer.
- Sacrés mômes, va ! C'est une bonne habitude, les coups !
jeudi, novembre 04, 2004
Cronica de un encuentro anunciado.
Hace unas semanas uno de los ultimos domingos del sol de verano, conoci a Cesar Stroscio, intercambiamos palabras y entre copas le pregunte si conocia la existencia de grabaciones de duos de bandoneon, ya que solamente sabia de las grabaciones de Troilo con Piazzolla, de las cuales poseo dos, y si hay mas, y eventualmente, como conseguirlas. Su respuesta fue un gesto entre la comisura de sus labios y un no, que yo sepa no...
Ayer me llamo uno de mis viejos amigos (17 años de amistad)
- che Matias estoy en Paris, hoy tocamos
-......
Dino habla mucho en sus conciertos, dependiendo del publico y de si alguien lo hace enojar o no. Anoche el ambiente era como el living de casa, con toda la gente a la vuelta (menos de 100 personas) y practicamente acustico. EL hombre polifonico, que dara un seminario sobre "transmision de la cultura a traves de la via oral" o simplemente de 'improvisacion' se presento y en una de las pausas dijo "en mi pueblo, no habia luz, asi que al caer la noche, las noches de luna, nuestro encuentro era atraves de los instrumentos, esta musica nos hacia reunir y tocar, yo pienso que recuerdo y evoco todo esto con mi musica".
- che Matias estoy en Paris, hoy tocamos
-......
Dino habla mucho en sus conciertos, dependiendo del publico y de si alguien lo hace enojar o no. Anoche el ambiente era como el living de casa, con toda la gente a la vuelta (menos de 100 personas) y practicamente acustico. EL hombre polifonico, que dara un seminario sobre "transmision de la cultura a traves de la via oral" o simplemente de 'improvisacion' se presento y en una de las pausas dijo "en mi pueblo, no habia luz, asi que al caer la noche, las noches de luna, nuestro encuentro era atraves de los instrumentos, esta musica nos hacia reunir y tocar, yo pienso que recuerdo y evoco todo esto con mi musica".
Uno puede sentir la tierra, tierra que de alguna manera comparto con Dino porque casi toda mi familia vive y viene de la misma region, y porque todos de alguna manera venimos de la tierra.
La musica de anoche fue un upercut a la forma, sabiendo que ellos la habian construido y muchas veces perdiendo por K.O. consigo mismo, unas notas nos indicaban un tango y cinco minutos nos hacian volar por todos los parajes de Campo Santo a Anta. Campo Quijano fue solo un sueño.
'Rosendo Flores era su nombre y Calandria su apodo, a quienes ni los años que todo lo olvidan podran olvidar' y esto llego despues de una zamba escrita por el viejo Saluzzi, hablando de padres donde las palabras no tienen lugar, recordando a un viejo amigo e invitandolo a compartir escenario con el.
La musica de anoche fue un upercut a la forma, sabiendo que ellos la habian construido y muchas veces perdiendo por K.O. consigo mismo, unas notas nos indicaban un tango y cinco minutos nos hacian volar por todos los parajes de Campo Santo a Anta. Campo Quijano fue solo un sueño.
'Rosendo Flores era su nombre y Calandria su apodo, a quienes ni los años que todo lo olvidan podran olvidar' y esto llego despues de una zamba escrita por el viejo Saluzzi, hablando de padres donde las palabras no tienen lugar, recordando a un viejo amigo e invitandolo a compartir escenario con el.
Y su bandoneon floreo.
Despues, a modo de dos muchachas de 1920, se tocaron un valsecito que ni los años que todo lo olvidan, podran olvidar.
A Jose lo conoci cuando hacia el secundario, nos juntabamos a escuchar King Crimson, Gentle Giant, Emerson Lake & Palmer, despues salimos mucho, muchisimo, noches en 'Cocodrilo' en 'Sodoma', auto, solos y con Alex (los amigos siempre fueron tres) y Dino siempre fue medio monstruo con nosotros, cagandonos a pedos por ver el recital de Guns'n'Roses con un simple: "esa guitarra esta desafinada".
A Jose lo conoci cuando hacia el secundario, nos juntabamos a escuchar King Crimson, Gentle Giant, Emerson Lake & Palmer, despues salimos mucho, muchisimo, noches en 'Cocodrilo' en 'Sodoma', auto, solos y con Alex (los amigos siempre fueron tres) y Dino siempre fue medio monstruo con nosotros, cagandonos a pedos por ver el recital de Guns'n'Roses con un simple: "esa guitarra esta desafinada".
Me hace muy bien reencontrarme con estas épocas.
Dino ahora no me reta mas, hablamos de las milongas de Borges, de las formas que nos encierran y que nos serviran para poder pasar a otras y arreglarselas con dos o tres elementos, de la poca confianza que tenemos en la politica y de la voluntad de recuperar los lazos de solidaridad entre las personas, de poder recuperar la identidad de cada individuo y artista, de crearla a cada momento y de no caer en la uniformidad. Tambien hablamos del tango, de las milongas y de la posibilidad de que en algun momento pueda tocar en alguna milonga en Paris.
El resto fueron abrazos, algunas lagrimas, muchos farfos, y un vamos... a terminar esta botellita antes de irnos a dormir...
Dino ahora no me reta mas, hablamos de las milongas de Borges, de las formas que nos encierran y que nos serviran para poder pasar a otras y arreglarselas con dos o tres elementos, de la poca confianza que tenemos en la politica y de la voluntad de recuperar los lazos de solidaridad entre las personas, de poder recuperar la identidad de cada individuo y artista, de crearla a cada momento y de no caer en la uniformidad. Tambien hablamos del tango, de las milongas y de la posibilidad de que en algun momento pueda tocar en alguna milonga en Paris.
El resto fueron abrazos, algunas lagrimas, muchos farfos, y un vamos... a terminar esta botellita antes de irnos a dormir...
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